actualité - évocation - transmission - diffusion - transdisciplinarité
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Traverses transdisciplinaires
Blog du site www.caravancafe-des-arts.com. Caravancafé est soutenu en particulier par Basarab Nicolescu, Physicien Théoricien, Président du Centre International de Recherches et Etudes Transdisciplinaires . Le Projet "circulations" est parrainé par Sayed Raza, peintre indien - Ce projet transculturel : art actuel - science - est emblématique du site - De nombreux acteurs culturels, artistes et chercheurs soutiennent aussi ce projet.
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vendredi 29 avril 2011
Le corps utopique - Michel Foucault
(..) masque maquillage et tatouages : c'est faire entrer le corps en communication avec des pouvoirs secrets et des signes invisibles ..langage sacré et vivacité du désir (..) un autre espace, un lieu sans lieu, fragment d'espace imaginaire qui va communiquer avec un espace imaginaire... on sera saisi par les dieux... projection dans un autre espace.... (...) L'amour, comme le miroir et la mort, apaise l'utopie du corps...Dans l'amour, le corps est ici ...
le corps lui-même fait entrer l'espace de l'autre monde à l'intérieur de l'espace qui lui est réservé...
Mon corps est toujours ailleurs, lié à tous les ailleurs du monde ... (..) Le point zéro du monde. Noyau utopique à partir duquel je rêve ..la cité du soleil, sans lieu mais qui rayonne vers...
relevé sur
http://intercession.over-blog.org/categorie-10389587.html
mercredi 27 avril 2011
Marc-Alain Ouaknin
caravancafé - le site
Mircea Eliade - La Redecouverte du Sacre (francais)Part - 4
(..) l'homme total : "homo religiosus", - le sacré est la base de son existence dans le monde - un élément de structure de la consciences, mais non pas un stade ..."
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Baudrillard - La Disparition Du Monde Réel
"Le monde qui s'écrit de lui-même"
les choses n'existent jamais dans cette identité totale, cette présence à elle-mêmes ...
Quel est donc ce “quelque chose” qui disparait derrière la plupart des images dont parle Baudrillard ? Et de quelles images parle-t-il ? Lorsque l’on considère la photographie comme un outil d’enregistrement documentaire de l’actuel, il est difficile d’imaginer qu’une image ne puisse être que ce qu’elle est et ensuite que l’information qui l’accompagne puisse devenir caduque. La lecture du « Système des objets » est loin et je dois manquer de référence. Je suis à la recherche d’un commentaire de journaliste sur cette approche de la photo. Cette vidéo trop courte a le mérite de m’embrouiller la tête avec les questions suivantes.
Baudrillard nous dit que “le rôle de l’image est d’aller vers l’absence, ou de rendre compte de cette absence qu’on oublie en général” et que “la photo est l’outil idéal pour faire disparaitre le monde”. Baudrillard adopte une considération radicale de l’image en tant qu’objet autonome, une représentation coupée du réel qui le fixe et rend compte d’objets qui ont perdu leur substance. Cette approche évacue toute forme de rapport documentaire ou journalistique où la légende conditionne le sens d’une image. Je trouve ce commentaire fascinant mais je reste perplexe. Comme une invitation à ré-enchanter le monde par une poétique picturale où l’image ne serait qu’image là où j’ai intégré la conviction qu’elle est toujours le signe de quelque chose d’autre et d’ailleurs pas forcément d’elle-même : image figurée, image mentale ou encore image de soi : toutes figurent autre chose que ce qu’elles dénotent...
la suite
mardi 26 avril 2011
jardins du monde
association Jardins du monde promeut l'utilisation des plantes médicinales afin d'améliorer la santé des populations ayant difficilement accès à la médecine et aux médicaments conventionnels. Jardins du monde (JDM) est vouée à intervenir partout dans le monde, en fonction des demandes qui lui sont formulées par des associations locales, des coopératives, des institutions ou d'autres ONG. Son siège est situé en France, à Braspart (Finistère).
Constatant que la plus grande partie de l'humanité n'a pas les moyens d'acheter des médicaments conventionnels, JDM encourage le recours aux plantes médicinales dont l'efficacité et la non-toxicité sont scientifiquement prouvées. En principe, JDM intervient suite à une demande formulée par des groupements villageois ou des institutions.
la suite sur
www.jardinsdumonde.org/
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Société Française d'Ethnopharmacologie
La Société Française d'Ethnopharmacologie est une association créée en 1986 à l'initiative d'une douzaine de chercheurs universitaires spécialisés dans des disciplines différentes mais, impliqués dans l'étude et la connaissance des plantes médicinales utilisées comme médicaments ou dans la compréhension des pratiques et représentations relatives à la santé et à la maladie.
Société savante non subventionnée, elle comprend aujourd'hui plus de 550 membres répartis dans une trentaine de pays.
Jacques Fleurentin, son président, pharmacien et enseignant à l'Université de Metz, et le conseil d'administration ont défini le but de l'association : "promouvoir l'ethnopharmacologie en réalisant et en favorisant études et recherches sur les plantes médicinales et les produits d'origine naturelle utilisés par les médecines traditionnelles, en facilitant les échanges d'informations, en organisant des réunions scientifiques et en développant, d'une façon générale, toute activité en rapport avec ce but poursuivi".
Le cloître des Récollets avec son jardin de plantes médicinales abrite l'Institut Européen d'Ecologie dont le président fondateur est le professeur Jean-Marie Pelt. Il est également président d'honneur de la Société Française d'Ethnopharmacologie dont le siège est situé dans le cloître.
En particulier, la Société Française d'Ethnopharmacologie s'efforce de faciliter la coordination entre la recherche fondamentale et appliquée en mettant en relation les compétences des membres et en jouant un rôle de consultant.
Les travaux devraient permettre finalement :
- la sauvegarde d'un patrimoine culturel en péril ;
- l'intégration des médecines traditionnelles dans les systèmes de santé ;
- l'amélioration et la normalisation des remèdes traditionnels ;
- l'évaluation des ressources naturelles (plantes à principes actifs, plantes à indications thérapeutiques originales).
la suite sur
www.ethnopharmacologia.org/default.asp?page=qui-sommes-nous
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lundi 25 avril 2011
si proche de Mercure - premières images
Space & Cosmos
The First Close-Ups of Mercury
Credit: NASA
relevé sur
http://www.nytimes.com/slideshow/2011/03/30/science/space/20110331-mercury.html
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samedi 23 avril 2011
vendredi 22 avril 2011
Juliano Mer-Khamis
http://israelpalestine.blog.lemonde.fr/2011/04/04/un-symbole-israelo-palestinien-assassine-a-jenine/
Il s’appelait Juliano Mer-Khamis et nourrissait un dessein déraisonnable et inconvenant: rapprocher les peuples israélien et palestinien. Son projet n’avait rien de la mièvrerie des rencontres sportives organisées à des centaines de kilomètres du théâtre des opérations. C’est au contraire dans le camp de réfugiés de Jénine, dans le nord de la Cisjordanie, ancien “bastion du terrorisme” selon la terminologie israélienne du début de la deuxième intifada, que cet Israélien volontiers provocateur avait décidé de porter le fer de convictions héritées d’un couple de parents communistes eux-mêmes sangs mêlés (Arna Mer et Saliba Khamis).
Contre vents et marées, il y avait défendu le théâtre ouvert en 1989, en pleine première intifada, par sa mère et rasé au cours de la seconde après l’assaut donné en avril 2002 au lieu où s’étaient retranchés des miliciens palestiniens. Selon l’AFP, ce militant a été assassiné lundi 4 avril dans ce même camp de Jénine par un groupe d’hommes armés.
Acteur et réalisateur, Juliano Mer-Khamis avait consacrée à l’oeuvre de sa mère emporté en 1995 par un cancer, un documentaire extraordinaire: Les enfants d’Arna (voir un extrait ci-dessous). Sans nul doute le meilleur film pour comprendre la seconde intifada.
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http://israelpalestine.blog.lemonde.fr/2011/04/04/un-symbole-israelo-palestinien-assassine-a-jenine/
arts & Culture Remembering Juliano
relevé sur
http://ceasefiremagazine.co.uk/new-in-ceasefire/remembering-juliano/
By Nihal Rabbani
When I first heard that Juliano Mer-Khamis was killed last Monday, the announcement read like a misprint. Even though I knew it was true, I waited for someone to reveal that it was a hoax. Like everyone, I felt too stunned and bewildered to process this bizarre news before pausing for a few hours, numbed with disbelief.
Before night fell, the reality still hadn’t sunk in. I hardly knew anyone in Amsterdam who shared personal memories of him, as images of Jule’s (as everyone called him) intense face and loud, penetrating voice ran through my mind like shuffle cards. I tracked down a mutual friend in Haifa, who felt even more disoriented by the blow. After attending a memorial service held on the night of Jule’s death, he exclaimed, “We don’t even know how to deal with it!”
I emailed my friend’s wife, who I had met in Juliano’s company at our local Haifa pub and shared my grief with her. The next day, I contacted a mutual friend of Jenny’s (Jule’s wife), who I’d met in Palestine. By then, the recollections finally started to settle and I was ready to mourn him.
Friends who were close to Jule, others who casually knew him, people who had only heard of or admired him and all those who had hoped to, one day, collaborate with Jule at the Freedom Theatre – we were all struck by the same brutal, communal shock. His family extended beyond his lover, children, unborn twins, brothers and mother of his daughters. They were the Palestinian community in Israel, the Freedom Theatre in Palestine, friends from the local pub in Haifa, his many comrades and acquaintances spread throughout the world and the thousands of people who were touched by his cause after watching “Arna’s Children”.
I was alerted to Jule’s spark long before I’d ever heard of the work of his late mother Arna. The first time I saw him was during the height of the first Intifada in the late eighties, on my parents’ television screen in Holland. A particularly handsome and charismatic man of the theatre appeared, mesmerising and captivating the viewers as if he were juggling us with his hands. He demanded our attention with a cheeky twinkle in his eyes, as if to say, “You will never forget me”. Even though I was only nineteen years old at the time, I never did forget him.
At the time, he was one of the few people I’d heard of who came from a “Palestinian-Jewish” background. His heart had not yet been captured by Jenin. Jule was a street performer, an actor and a bohemian artist. He charmed the viewers with his complex story, which he was already sharing with the conviction that he was lucky to be in such a unique position. One thing that struck me is that he seemed fearless and invincible.
Jule explained that his parents were communists and that he was born into a “forbidden” love story that had turned sour. He spoke openly about being a former paratrooper in the IDF, concluding that his decision was influenced by the hostile manner that his Palestinian father treated his Jewish mother, which is something that I never heard him mention again.
Over the years, however, he claimed that he didn’t regret his “mistake” because it taught him to dissect Israeli society through the training he received from an elitist army unit. I had mixed feelings about his justification because I was aware of the malicious attacks that Israeli paratroopers perpetrated on innocent civilians. On the other hand, I acknowledged that when Jule came of age, he must have felt conflicted between two of the most volatile identities in the Middle East and that his Israeli high school environment peer-pressured him into picking the stronger side of the fence.
Whether or not I agreed with this, the truth of the matter is that if he hadn’t joined the military (which consequently placed Jule in prison for disobeying orders), I doubt he would have witnessed the injustices that prompted his conscience to eventually support the underdog. At best, Jule might have become a moderate Israeli who dodged his Arab roots, which still would have been a rebellious reflex towards his parents’ leftist views. He probably would not have been transformed into a proud Jewish Palestinian who celebrated both sides of his cultural, religious and ancestral identity.
In 1994, six years after his television appearance, I visited my parents’ home town, Haifa, for the first time. I met with Palestinian friends at an Israeli bar called ‘Olam Moze’, translated as ‘One World’, which was one of the few places that welcomed “Arabs”. When my friends mentioned that they had seen Jule perform nudist street theatre, I figured that he was the same guy I’d seen in the interview. Even then, he didn’t allow barriers to disrupt his artistic self-expression.
Exactly a year after my first trip to the ‘Homeland’ in 1994, Israeli Prime Minister Yitzhak Rabin was shot dead. The peace trick vanished. The second Intifada started five years later and ended in 2004, which was the same year that I returned to Haifa. This time around, Palestinians from the diaspora (like myself) and residents who were reduced to being labelled as “Arab Israelis” felt even less welcome at Israeli establishments.
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http://ceasefiremagazine.co.uk/new-in-ceasefire/remembering-juliano/
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mardi 19 avril 2011
Edgar Morin - L’indispensable rencontre des savoirs
www.cnrs.fr/fr/pdf/jdc/JDC255.pdf
page 18
Analyse Edgar Morin, philosophe et sociologue, directeur de recherche émérite
au CNRS, nous livre sa réflexion sur l’interdisciplinarité.
L’indispensable rencontre
des savoirs
" Les disciplines doivent demeurer à la
fois ouvertes pour se nourrir de l’extérieur
et fermées pour exprimer leur identité."
(...)
Somme toute, ce qu’il faut, avant tout,
c’est connecter les connaissances…
E. M. : Oui, ou les “tisser ensemble”, du latin “complexare”, d’où
mon travail sur la “pensée complexe”, afin de pouvoir saisir le
monde dans ses contradictions, sa non-linéarité – entre cause
et effet –, sa continuité discontinue. Le caractère nocif de la
discipline, c’est qu’elle coupe un continuum en fragments
séparés. Or, pour y remédier, il me fallait des concepts, et c’est
ce à quoi je me suis attelé durant trente ans en écrivant
La Méthode6, afin de formuler selon quelle méthode et quel
principe on peut “relier” de la meilleure manière possible,
(...)
voir l'interview sur
www.cnrs.fr/fr/pdf/jdc/JDC255.pdf
toile de zao wu ki
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samedi 16 avril 2011
Marco Decorpeliada - Schizomètres
détournements : se dérober du «substantialisme de la maladie mentale» - sortir des grilles - exposition Decorpeliada
Psycho patte à la Maison rouge
Critique
Expo . A Paris, un collectif oulipien reprend l’œuvre du mystérieux Decorpeliada, qui a subverti les codes de la médecine mentale.
Par LOUIS SÉGUIN
La Maison rouge présente «Schizomètres», une exposition consacrée à Marco Decorpeliada. Rien ne sert de taper ce nom sur Wikipédia, Decorpeliada est un parfait inconnu. Son œuvre est une découverte livrée ici pour la première fois au public, au point qu’Antoine de Galbert (fondateur de la Maison rouge) s’est senti dans la peau de Dubuffet découvrant l’art brut quand les cinq commissaires de l’exposition ont posé sur son bureau les objets mystérieux qu’a laissés l’artiste. «C’est à vendre ? J’achète !» s’est écrié Galbert, enthousiaste.
Congélateurs. Marco Decorpeliada, né en 1947, a mené une vie de roman. Lorsqu’il rentre en France, en 1995, après avoir fait le tour du monde dans tous les sens, il est bouleversé par le décès de sa mère. S’ensuit alors, jusqu’à sa mort en 2006, le temps des hôpitaux psychiatriques, où il se met à penser en artiste. Un de ses docteurs, Sven Legrand, l’encourage à travailler ses découvertes.
La trouvaille de Decorpeliada tient au système psychiatrique et à ses outils. Cet homme, dont l’identité était réduite aux diagnostics qu’on lui appliquait, a cherché à déjouer ce système, à contre-attaquer.
Etudiant avec soin les codes du DSM IV (un manuel de classification des maladies mentales utilisé par les psychiatres pour établir les diagnostics), il s’est aperçu qu’ils correspondaient étrangement avec les codes du catalogue des surgelés Picard. L’œuvre de Decorpeliada révèle donc des associations sous formes plastiques diverses (collages sur des mètres de charpentiers et tableaux incrustés sur des portes de congélateurs, dont les cases révèlent les correspondances). A chaque maladie mentale correspond un produit surgelé : la pyromanie et le poulet à l’indienne sont rangés sous le même code 63.1, et ainsi de suite… Une fois cette correspondance établie, Decorpeliada a généralisé son procédé, cherchant d’autres classements fonctionnant de façon similaire : les Cantates de Bach, les Contes des 1001 nuits, les 1001 films à voir avant de mourir, les citations latines des dictionnaires ou encore la classification universelle Dewey, utilisée dans les bibliothèques pour organiser le savoir.
Le résultat est édifiant : à la maladie «problème relationnel dans la fratrie» correspond le film Festen ; à «schizophrénie, type paranoïde continue» correspond le code «Religions» du catalogue Dewey.
Le statut de l’œuvre de Marco Decorpeliada est ambigu. D’après Paula Aisemberg, directrice de la Maison rouge, le travail du classement, de la mesure et de la répétition situe Decorpeliada dans l’histoire de l’art conceptuel et minimaliste. L’œuvre rappelle aussi le surréalisme par le surgissement d’une signification dans un rapprochement fortuit d’éléments, un «hasard objectif». Mais il y a surtout chez Marco Decorpeliada un souci de dénoncer les pratiques institutionnelles de la psychiatrie avec un humour et une rigueur d’élaboration «oulipiens».
Lacaniens. C’est là que les cinq commissaires de l’exposition entrent en jeu, et reprennent l’œuvre à leur compte. Psychanalystes oulipiens, membres de l’Ouspypo (Oulipo sauce psy), ils utilisent Marco Decorpeliada pour dénoncer ce que l’un d’eux, Laurent Cornaz, appelle le «substantialisme de la maladie mentale». Pour ces lacaniens, la thérapie est dynamique, la psyché mute dans et par la parole.
Selon Laurent Cornaz, le projet est foucaldien, et Decorpeliada s’est joué de la psychiatrie et de la «folie classificatoire» en désamorçant les diagnostics auxquels il était soumis. En exploitant sa folie, Decorpeliada a fait de l’art.
Difficile, au fil de l’exposition, de faire la part entre la curiosité qu’inspirent la folie de l’artiste et l’intérêt que font naître ses œuvres. Difficile aussi de savoir ce qu’il faut penser de l’exploitation de l’œuvre d’un défunt anonyme par cinq psychanalystes militants.
Alors que l’on est plongé dans ces réflexions, on tombe en fin de parcours sur une petite salle mitoyenne ; on découvre une vidéo d’Antoine de Galbert parlant du projet, et un imposant livre retraçant la genèse de l’installation. Alors surgissent, avec les éléments de réponse, les vraies questions…*
relevé sur
www.liberation.fr/culture/0109622136-psycho-patte-a-la-maison-rouge
marco decorpeliada, schizomètres
la suite sur
www.lamaisonrouge.org/spip.php?article648
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vendredi 15 avril 2011
Qu'est-ce que la réalité ? - Adonis - Banu - Nicolescu
Art - Religion - Mystique - Science
novembre 2010
Rencontre avec Adonis, Georges Banu, Basarab Nicolescu
"la réalité comme un miroir de l'être"
dialogue avec Lupasco - Tiers Inclus
Basarab Nicolescu
Extrait tiré du site http://www.baglis.tv
Soixante ans après l'affirmation de Wolfgang Pauli (l'un des fondateurs de la physique quantique) : « la formulation d'une nouvelle idée de la réalité est la tâche la plus importante et la plus ardue de notre temps», Basarab Nicolescu nous le rappelle : « cette tâche est toujours inaccomplie !»
A l'occasion de la parution du livre « Qu'est-ce que la réalité » (Ed Liber) de Basarab Nicolescu (physicien), nous avons réuni autour de lui trois « hommes de l'Art » : Jean Pian (mathématicien), Adonis (poète), Georges Banu (homme de théâtre) afin de tenter de répondre à la question : Qu'est-ce que la réalité ?
Si le réel apparait comme ce qui « est », la réalité, elle, n'est que le miroir de l'être, son reflet. Le reflet est ressemblant, certes, mais non identique. Pour Nicolescu, « la réalité est ce qui résiste à nos représentations, donc en tentant de définir la réalité, nous touchons aux limites de la science, notamment la non conciliation entre théorie de la relativité et mécanique quantique ».
La réponse se trouve, selon nos chercheurs, dans l'existence de niveaux de réalités différents : les sciences physiques ont chacune leur propre cohérence, leurs propres lois. Puisque certains principes semblent se contredire, c'est qu'il existe une discontinuité de ces lois, et donc différents niveaux de réalités.
Grâce à ces différents niveaux de réalité, une explication globale et cohérente de tous ces phénomènes voit le jour et le principe hermétique « tout ce qui est en haut et comme ce qui est en bas » se trouve confirmé. L'astrophysique rejoint la physique des particules et par delà la sphère de l'observation, de la mesure, transparait celle du sens.
Pour voir l'intégralité de cet exposé allez sur
http://www.baglis.tv/sciences-video/physique-quantique/924-quest-ce-que-la-re...
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Georges Banu
"la contradiction devient source d'énergie créatrice et la brusque émergence de la discontinuité comme principe dynamique « organisateur et structurant "
Extrait tiré du site http://www.baglis.tv
Pour Georges Banu, le rôle et l'acteur représentent deux niveaux de réalités distincts. Lequel promeut l'autre ? Est-ce l'acteur qui atteint un niveau de réalité supérieur en donnant chair à un rôle ? Ou bien est-ce le rôle qui apporte à la personne son vêtement, parement extérieur communément identifié à « la réalité » dans notre monde moderne.
Quand l'un et l'autre se réunissent au point de ne former qu'un : cet eurêka constitue-t-il lui aussi un troisième niveau réalité ?
Ainsi, quand Shakespeare fait dire à Richard II, alors qu'il abandonne la couronne, « qui suis-je qu'un acteur qui quitte la scène sous la huée d'un public ? » dissocie-t-il le Roi (3) le rôle (2) et la « carcasse humaine » (1) : chaque partie intègre un niveau de réalité différent.
Plaçant ses réflexions bien au-delà d'un simple questionnement littéral qui ne reviendrait qu'à s'interroger sur la place de l'illusion et de la fiction dans le théâtre ; Georges Banu fait sienne la philosophie des antagonismes chère à Stéphane Lupasco « qui maitrise la contradiction maitrise le monde » et déclare « si le théâtre est une illusion alors le théâtre EST LA REALITE».
Peter Brook avait ainsi noté dans son ouvrage « L'espace vide » qu'il existait trois formes de théâtre : les deux premières sont antagonistes avec d'une part le théâtre sacré dont la finalité est de rendre l'invisible visible, et d'autre part le théâtre brut qui repose sur la sublimation de la dimension la plus concrète du réel. Une troisième voie, selon Peter Brook, existe, grâce au théâtre immédiat qui mêle visible et invisible : principe de discontinuité et hétérogénéité.
Pourfendant le « système » unificateur d' Aristote qui qualifiait de « monstrueux » l'absence d'homogénéité, Georges Banu souligne dans cet exposé l'importance de la contradiction qui devient source d'énergie créatrice et la brusque émergence de la discontinuité comme principe dynamique « organisateur et structurant »... principe qui enfanta les avant-gardes et de l'art de la polémique (Joyce, Sarah Kane, Beckett).
Adonis
L'un et le multiple - Le Transreligieux
"Dieu n'est pas Dieu, Dieu c'est le non Dieu".
Extrait tiré du site http://www.baglis.tv
La vision poétique rejette en effet « la terreur de l'unique », inhérente aux monothéismes, et établit un équilibre constant entre l'un et le multiple. Elle refuse donc cette « fixation du mouvant » propre aux religions du Livre, toujours aptes selon Adonis à enfermer le vivant dans des représentations. C'est là que la notion de Tiers caché, entre le sujet et l'objet, entre le moi et le monde, peut aider l'homme à se libérer de ses représentations.
Le Dieu vivant des mystiques est un dieu "non captable", plus encore : c’est un « Dieu poète » car pour Adonis : "tout est poésie chez les mystiques, même Dieu ! Ce qui est essentiel ce n'est pas de le connaître (donc de le fixer) mais de savoir comment aller vers Lui" …
Quels sont les rapports entre la poésie et la science? La définition que les poètes et les scientifiques donnent à la notion de sens est-elle conciliable?
Quels liens existent-ils entre le Tiers caché et le Surréalisme ou d’une manière générale à toute forme d’avant-garde ?
Réponse d’Adonis, Jean Pian, George Banu, Basarab Nicolescu dans cette table ronde de 35 min. filmée au Forum 104 et animée par Petre Raileanu et Fulvio Caccia.
A noter: ce troisième et dernier exposé, suit un premier volet "Qu'est-ce que la réalité par Jean Pian" (mathématicien) et un second "Qu'est-ce que la réalité par George Banu" (homme de théâtre ).
relevé sur
www.baglis.tv/arts-video/poesie/1558-quest-ce-que-la-realite-adonis.html
Parution du livre "Qu'est-ce que la réalité" de Basarab Nicolescu
«Le mot "réalité" est un des plus prostitués de toutes les langues du monde. Nous croyons tous savoir ce qu'est la réalité mais, si on nous interroge, nous découvrons qu'il y a autant d'acceptions de ce mot que d'habitants sur la terre. Il n'est donc pas étonnant que les conflits sans nombre agitent sans cesse les individus et les peuples: réalité contre réalité. C'est une sorte de miracle que, dans ces conditions, l'espèce humaine existe encore.
Plus de soixante ans après l'affirmation de Wolfgang Pauli, un des fondateurs de la mécanique quantique: "la formulation d'une nouvelle idée de réalité est la tâche la plus importante et la plus ardue de notre temps", cette tâche reste inaccomplie. Et pour illustrer cette quête, je prends, comme cas exemplaire, l'œuvre de Stéphane Lupasco (1900-1988). J'ai eu le privilège de partager l'amitié de Lupasco de 1968 à sa mort. Ce livre voudrait prolonger nos échanges intellectuels et spirituels au-delà de ce terme. En effet, la pensée de Lupasco est un système ouvert, soumis à un perpétuel questionnement constructif. Elle nous aide à avancer vers une sagesse en conformité avec les défis majeurs de notre siècle.»
Qu'est-ce que la réalite ? , Réflexion autour de Stéphane Lupasco Nicolescu Basarab
- Essai (broché). Paru en 02/2010
- Expédié sous 4 à 8 jours
http://livre.fnac.com/a2774045/Nicolescu-Basarab-Qu-est-ce-que-la-realite
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Ai Weiwei- 发课编辑部 Fake Editorial
http://www.aiweiwei.com/editorial/index.htm
L’affaire Ai Weiwei
Ai Weiwei (né en 1957) est l’un des artistes contemporains chinois les plus connus. S’il lui est arrivé de travailler avec les institutions officielles (notamment pour le design du stade olympique d’Herzog et de Meuron), il a toujours conservé une distance critique et ne s’est pas privé de faire entendre une voix discordante, notamment au lendemain du tremblement de terre de 2008 dans le Sichuan, en attribuant son coût humain à la corruption endémique, qui a permis la construct ion de bâtiments (notamment des écoles) inadaptés à un environnement sismique. Alors que sa visibilité internationale est au plus haut – il a été le dernier artiste à créer une installation pour le Turbine Hall de la Tate Modern à Londres (cent millions de graines de tournesol en céramique, visibles jusqu’au 2 mai 2011) - son arrestation par les autorités chinoises a choqué. Détenu sans explication le dimanche 3 avril, il n’était toujours pas libéré au moment de l’expédition de cette lettre. Si la Chine est devenue le premier marché d’art au monde (chiffres Artprice de mars 2011), elle n’a pas encore fait sa révolution des mentalités : la libre expression y est encore un combat quotidien.
• Ai Weiwei doit faire l’objet d’une exposition monographique à la Lisson Gallery de Londres à partir du 13 mai 2011.
www.artaujourdhui.info/art-aujourdhui-hebdo-00470.html
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jeudi 14 avril 2011
France Delville - Et si MADI nous était conté ?
CONSCIENCE POLYGONALE
de carMelo ArDen quIn à MADI contemporain
Exposition ouverte jusqu'au 29 mai 2011
Commissariat de l'exposition
Catherine Topall (galerie Orion) et Alexandre de la Salle, auteur du catalogue raisonné d'Arden Quin ; coordination artistique du projet : France Delville
www.ciac-carros.fr/
www.artcotedazur.fr/et-si-madi-nous-etait-conte,4338.html
FEUILLETON
par France DelvilleSculpture d’Arden Quin, plastique et fibre plastique (2006)
Et si MADI nous était conté ?
voir la video de France Delville surwww.artcotedazur.fr/et-si-madi-nous-etait-conte,4338.html
L’exposition du Centre International d’Art Contemporain de Carros, intitulée « Conscience Polygonale, De CarMelo ArDen QuIn à MADI contemporain » soulève un enthousiasme exceptionnel, qui fait plaisir. Les visiteurs se disent frappés par la grandeur de cette aventure MADI initiée par Arden Quin.
Chapitre 21 - Chronique sur le mouvement MADI réalisée par France Delville pour Art Côte d’Azur
Dans cette chronique, même si nous attendent de belles rencontres avec les différentes phases de MADI, jusqu’à l’engagement et la passion des Madistes d’aujourd’hui (Zangara et Cortese), il faut encore insister sur la nature des débuts, qui éclairent si bien les raisons de cet engagement. L’exposition se terminant fin mai 2011, nous aurons l’occasion jusque-là d’explorer bien des domaines, même si l’approfondissement d’un Mouvement resté vivant trois quarts de siècle nécessiterait plusieurs vies.
Dans l’idée, donc, persistante, que les prémisses des actes et discours humains sont indispensables à leur compréhension, voici un document indispensable. Pour pointer les sources historiques du Mouvement MADI, en 1955, dans « Memoria Madi, Cahier n°1 », Volf Roitman écrivit un texte intitulé « Antécédents », dont une synthèse parut dans le catalogue de l’exposition « MADI international 50 ans plus tard », au « Centre d’Expositions et de Congrès » de Saragosse (printemps 1996, avec plus de cinquante artistes MADI).
Dans cette énumération on peut reconnaître les initiations du jeune Arden Quin aux révolutions littéraires, poétiques, plastiques et politiques de la fin du XIXe siècle - début du XXe, qui résonnent souvent dans les interviews qu’il accepta de donner.
Car les sources historiques du Mouvement MADI sont avant tout les sources de la culture de l’individu Arden Quin, solitaire lorsqu’il commença sa carrière de peintre non-orthogonal en 1935 avec « Diagonales des carrés », mais plus jamais seul à partir de 1944, année de la publication de la Revue « Arturo », et de 1945, année des deux manifestations d’« Arte Concreto Invención », et de 1946, année de la fondation du Mouvement Madi à l’Institut Français des Hautes Etudes de Buenos Aires.
Martin Blazsko est un témoin direct du fait qu’Arden Quin fut l’inspirateur du Mouvement MADI, Blazsko présent le 2 décembre 1945 à la « Segunda Muestra Arte Concreto Invención » (première mouture de MADI), organisée par Esteban Eitler à Ramos Mejia, près de Buenos Aires, chez la photographe allemande Grete Stern, et qui écrivit en 1991 à Romualdo Brughetti : « Très cher Monsieur Brughetti. En réponse à votre demande d’informations, je suis heureux de pouvoir vous communiquer que j’ai connu Monsieur Carmelo Arden Quin dans une soirée artistique qui se tenait dans la maison de la photographe Grete Stern à la fin de la seconde guerre mondiale. Là, j’ai pu voir pour la première fois des tableaux avec des cadres découpés et des structures planimétriques dont les rapports étaient minutieusement définis. Après cette soirée, ayant le désir de mieux connaître l’auteur des tableaux qui était Arden Quin et ignorant son adresse, j’ai demandé à Klaus Erhardt, fils du directeur du théâtre Colon, ses coordonnées. Erhardt me répondit qu’il ne les connaissait pas mais que Kosice pourrait me renseigner. Je parlai avec Kosice qui me dit textuellement « je vais te le présenter, c’est notre maître et notre théoricien ». Il m’a amené chez lui. J’ai bénéficié de quelques cours mémorables, inoubliables d’Arden Quin. Il m’a enseigné à utiliser le compas et la règle. Quelques mois plus tard, et des réunions ayant eu lieu entre-temps entre Kosice et Arden Quin, ce dernier m’a parlé de lancer un mouvement plastique avec les caractéristiques connues et il m’a dit que nous allions l’appeler « Madi ». De la bouche d’Arden Quin. Pour ce qui est du manifeste Madi je peux vous communiquer qu’il fut lu par Arden Quin lors de l’inauguration de notre exposition à l’Institut français d’Etudes Supérieures. Je vous joins la photo (photocopie) prise en cette occasion. Pour moi il n’y a jamais eu de doute que l’auteur du manifeste était Arden Quin, d’autant plus que les contacts que j’ai eus avec eux avant et après le lancement du groupe et les changements d’idées et de réflexions sur l’art qui se sont produits dans ces jours-là m’ont confirmé dans cette conviction. Sans autre précision et profitant de l’opportunité pour vous féliciter pour votre fructueux travail de chercheur, je vous envoie mon meilleur salut ».
Buenos Aires, Novembre 1991, Martin Blaszko.
Je crée l’événement. Le passé n’est pas d’aujourd’hui qui sera demain. Je vous lègue la formule des inventions à venir » ?
Maître et théoricien, c’est ce que fut Carmelo Arden Quin, créateur d’une œuvre qui matérialise la théorie en question, avec un supplément - mana des échanges magiques de l’ethnolo
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CHAPITRE 28
Qu’est-ce qu’un objet MADI ?
Question à laquelle Carmelo Arden Quin a une fois de plus répondu devant la caméra de Zsuzsa Dardai dans un film qui serait projeté pendant l’exposition « supreMADIsm » à Moscou en 2006, et dont par ailleurs Piergiorgio Zangara, central dans le Mouvement MADI italien, m’a fourni un témoignage filmé du vernissage.
www.artcotedazur.fr/qu-est-ce-qu-un-objet-madi,4625.html
Chronique réalisée par France Delville pour Art Côte d’Azur
Invention de la polygonalité
C’est dans le manifeste suivant, « El movil », lu chez Enrique Pichon Rivière le 8 octobre 1945, que la polygonalité est annoncée par Arden Quin comme outil de rupture : « Pour nous, l’emploi des polygones, soit réguliers, soit comme simple espace dans laquelle s’inscrit la composition, est ce qui nous différencie, qui fait notre originalité. En abandonnant comme base de composition les quatre angles de l’orthogonalité classique, carré et rectangle, nous gagnons en possibilités d’inventions multiples. C’est un nombre infini de formes planes que nous pouvons créer ; chacun d’entre nous a sa forme plane au plus profond de son psychisme. C’est ma conviction . (…) Affirmer la Pluralité et la Ludicité, travailler avec des angles de toute espèce, employer la masse et le vide en un jeu dialectique ; l’éclat ; la transparence ; le mouvement réel. Il est de mon devoir de rappeler ici les jouets de Torres-Garcia, jouets qui s’articulent et changent de position à volonté."
autre liens
www.artcotedazur.fr/des-nouvelles-de-madi-aujourd-hui,4498.html
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http://www.artcotedazur.fr/des-nouvelles-de-madi-et-de-l-ecole-de-nice-d-hommage-en-hommage,4770.html
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CHAPITRE 34
prec suivArden Quin à la Maison de l’Amérique Latine
Le 7 octobre 2011, à la Maison de l’Amérique latine, Paris, l’hommage à Carmelo Arden Quin fut émouvant. Carmelo Arden Quin nous a quittés le 27 septembre de l’année dernière et un certain nombre de ses amis furent heureux d’être réunis pour célébrer sa mémoire.
Chronique réalisée par France Delville pour Art Côte d’Azur.
Un hommage émouvant... Sofia, son épouse, qui habite l’Argentine, était présente. Avec Catherine Topall et Bolivar elle était allée à Trapani, dans le sud de l’Italie, rejoindre des madistes italiens au vernissage d’une exposition MADI dont j’ai parlé récemment. A la Maison de l’Amérique latine, Catherine Topall, directrice durant des années du Centre Orion (Madi), présenta donc les intervenants, à commencer par Jacques Sauvageot, historien d’art et commissaire de l’exposition Madi à Cholet, non encore terminée.
Hommage de Jacques Sauvageot
Le clip vidéo joint à ce chapitre donne de très brefs extraits des interventions, voici donc retranscrite une partie du discours de Jacques Sauvageot : « Carmelo est l’artiste qui, sinon révolutionne, du moins remet en question l’art abstrait, à un moment où l’art abstrait n’est pas véritablement reconnu. Bien sûr les pionniers de l’art abstrait avaient imposé leur vision depuis 20, 25 ans, mais là où il était, l’art abstrait n’était pas complètement institutionnalisé, et Carmelo remet en question l’art abstrait en anticipant dans les années 35-40 les débats qu’il va y avoir dans les années 50-60, question qui se présentera de : comment l’art abstrait pourrait ne pas être un académisme, puisqu’il se voulait au départ le refus de l’académisme, avec tous les risques qu’il y a dans un système qui quelque part se fossili ..la suite sur
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mercredi 13 avril 2011
[transdisciplinarity] La question de l'identité française - le point de vue d'Edgar Morin -1999
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LA FRANCISATION À L'ÉPREUVE
"L’identité est l'union de l'identité et de la non identité"
Hegel
La francisation continue